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24 mai 2008

bab mrissa

bab_mrissa

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24 mai 2008

a cote du prefecture de sale new

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24 mai 2008

hay salam

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hay salam enver hay inbi3at

24 mai 2008

jardins exotiques de salé

jardins exotiques de salé

C’est à 20 Km. de Rabat, sur la route de Kenitra que Monsieur Marcel François, ingénieur horticole français a acquis en 1951 un terrain plat et nu d’une superficie de quatre hectares et demi.

Dix ans plus tard s’ouvraient au public les Jardins Exotiques de Bouknadel  à salé : un lieu magique, d’une qualité horticole, plastique et artistique exceptionnelle, inscrit parmi les merveilles du genre.
Le rêve de jeunesse d’un homme accompli tel un hymne à la nature.
Une composition exubérante toute en créativité, en technicité et en poésie.

Une invitation au voyage avec des plantes et des jardins évoquant la Chine, l’Asie méridionale, la Savane, le Congo, le Japon, le Brésil ou la Polynésie.

Une allégorie de la diversité avec des ambiances contrastées alliant flore luxuriante ou paysages arides…

Une œuvre généreuse d’un amoureux du Maroc qui a cédé ses jardins et sa demeure au gouvernement marocain.

les jardins

24 mai 2008

festival international du film de femmes de salé

Salé : Les femmes font leur cinéma

Le Festival international du film de femmes, qui aura lieu du 5 au 9 septembre prochain à Salé, permettra de jeter un regard croisé d’hommes et de femmes sur la question féminine.


Le Festival du cinéma de Salé change d’appellation. Pour sa deuxième édition prévue du 5 au 9 septembre prochain, « Ecrans de femmes » s’est transformé en  Festival international du film de femmes. Ce changement de dénomination  résulte d’une décision des organisateurs. «L’idée de parler de la femme à travers le cinéma a plu au public et aux observateurs. Pour cette raison nous lui avons donné ce titre de Festival de femmes», déclare le directeur Abdellatif Laâssadi. Cependant, si cet événement cinématographique est dédié en priorité à la gent femme, il n’écarte nullement l’homme.
M. Laâssadi précise dans ce sens que ce festival concerne également les hommes puisqu’ils peuvent, eux aussi, livrer leur propre regard sur la femme à travers leurs œuvres cinématographiques.
«C’est un regard croisé d’hommes et de femmes sur la question féminine», note  le directeur du festival. Le jury qui va juger les 12 films en compétition est  à 100% féminin.
La présidente n’est autre que la Roumaine Anca Mitran, directrice adjointe du Centre cinématographique roumain. Dans sa mission, elle sera accompagnée de sept autres femmes de nationalités diverses, mais toutes spécialisées dans le cinéma. La sélection des films en compétition a été l’œuvre du critique de cinéma Mustapha Mesnaoui. Ce dernier confie qu’il s’est basé sur plusieurs critères. «La condition première pour retenir un film était d’abord qu’il soit réalisé par une femme ou qui touche à la femme et la seconde préoccupation a été de proposer des films qu’on n’a pas l’occasion de voir dans des festivals », a-t-il expliqué. Ainsi au lieu de privilégier des œuvres européennes et américaines, M. Mesnaoui a préféré donner plus d’importance aux films en provenance des autres continents telles que l’Asie et l’Amérique Latine. Le monde arabe ne sera pas en reste. Parmi les films en lice pour remporter « Le cierge d’or de Salé » figurent, entre autres, les films «Juanita de Tanger» de Farida Belyazid, «Malik ou Ktaba» (Pile ou face) de la réalisatrice égyptienne Kamila Dikri et aussi «Sous le toit» du cinéaste syrien  Nidal Abou Dib. L’autre curiosité du festival est à rechercher au niveau des films qui seront projetés hors compétition. «Ahlam» promet d’être la découverte de cette section. «Ce long-métrage irakien de Mohamed Deraji, coproduit avec la Norvège, est le premier film réalisé après le renversement du régime de Saddam Hussein», précise Mustapha Mesnaoui. Toujours dans la catégorie hors compétition, le festival présente une sélection de films  internationaux et nationaux inédits et une section consacrée aux films ou documentaires tournés  entièrement ou partiellement à Salé.
Projetés sur des écrans géants qui seront installés à la place Bab Lamrissa et à la grande place de Sala Al Jadida, ces longs-métrages permettront aux habitants de Salé de se faire une idée sur les productions cinématographiques dédiées à la femme. L'invité d'honneur de cette  deuxième édition n’est autre que le cinéma allemand. Ainsi et en collaboration avec l'ambassade d'Allemagne à Rabat, le festival prévoit-il une projection spéciale de films et de documentaires ayant traité de la condition féminine dans ce pays européen.
Initié par l’Association Bouregreg et doté d’un conseil d’administration, le Festival international du film de femmes sera marqué par plusieurs innovations. Pour les découvrir, rendez-vous à Salé entre le 5 et le 9 septembre prochain.

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24 mai 2008

la ville en mode panoramic

anciene

24 mai 2008

bouregereg

bouregreg

24 mai 2008

sensibilisation

حملة نظافة لإنقاذ شاطئ مدينة سلا المغربية

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الرباط: «الشرق الأوسط»
انتبه المسؤولون المغاربة الى ضرورة إنقاذ مدينة سلا المجاورة للعاصمة الرباط من الثلوث البيئي الذي قضى على وجهها الثقافي الممتد الى ازمنة تاريخية، وحوّلها من مدينة حافلة بآثار اسوارها الشامخة، ومساكنها التقليدية الكبيرة، المزخرفة بالجبس والنقش الخشبي، ومدارسها العتيقة الدالة على تخرج علماء افذاذ (والمكتبة التي تركها العالم محمد الصبيحي لخير دليل على ما يقال)، ونهرها ابي رقراق الذي يفصلها عن العاصمة الرباط كخيط فضي يشكل نمطا فريدا في تقاطع مع مياه البحر، الى مدينة مسكونة بالعشوائية في البناء المعماري، مدن صفيح تقابلها عمارات عصرية، ودور مشيدة على شكل فيلات تقابلها دور سكنية هامشية، واشياء اخرى تبرز «القصف الانساني» الذي نخر المدينة.

ولتجاوز معضلة منع سكان المدينة من الاصطياف والسباحة في بحر سلا في عز الصيف، اطلق المسؤولون المغاربة حملة لتنظيف الشاطئ عنذ عام 1999، في افق احداث «مدينة بيئية»، وكلفت الأوراش التي تتوخى تنقية الرمال من ذرات التلوث البيئي المرئية وغير المشاهدة بالعين المجردة واعادة تصفية ماء البحر والحفاظ على جودة الخدمات بتوفير المرافق الصحية والترفيهية والامنية وتصفية مياه الصرف الصحي، ما يقارب المليار ونصف المليار درهم

وقعت مؤسسة محمد الخامس للبيئة ومقاطعة (محافظة) مدينة سلا وشركة ريضال واونيكس المغرب اتفاقية جديدة عام 2004 بكلفة مليون درهم

وترمي الاتفاقية، حسب ادريس السنتيسي عمدة مدينة سلا، الى العمل الجاد في افق الحصول على علامة «الرواق الازرق» الدولية التي تضم ما يقارب 14 معيارا. واعلن السنتيسي ان جميع الشركات، تترقب ان يصنف شاطئ سلا عام 2007 بالعلامة السالفة الذكر على اساس مواصلة الاوراش المسطرة في البرنامج

واعتبر عمدة المدينة حصول الشاطئ الذي يدخل ضمن مجال المنطقة التي يترأسها بمثابة ضخ شرايين جديدة لعودة السباحة من جديد ولتمكين سكان المدينة من الاستفادة من مياه البحر ومرافقه، بل لدفع السياح المغاربة بالعودة الى المدينة من جديد كما كان الشأن في السبعينيات كقطب سياحي داخلي

وأعلن غيوم جيل المدير العام لشركة «ريضال» للماء والكهرباء عن مواصلة شركته للاوراش المسطرة كتطهير وادي ابي رقراق من التلوث ومدينة سلا برمتها، معربا عن اعتزازه بحصول شاطئ سلا عام 2003 على الجائزة الاولى لأحسن شاطئ نظيف من لدن مؤسسة محمد السادس للبيئة

واضاف غيوم ان الشركة لها تصور جديد في علاج نفايات المدينة بطريقة جد عصرية تراعي معايير الجودة البيئية في التخلص من النفايات بجميع اصنافها 

ولتحسيس المواطنين بأهمية البيئة، أكد غيوم ادماج الاطفال المغاربة في عملية الحملة التي اطلقت من لدن المسؤولين وتتجلى في احداث «قرية بيئية» صغيرة تستقبل 1250 طفلا بتعاون بين محافظة سلا والجمعية المغربية لحماية الاطفال في ظروف صعبة ومؤسسة «الشرق والغرب» المهتمة بالتقارب الثقافي، ويوجد مقرها بالعاصمة الرباط، والتي سيستفيد الاطفال من خزانتها للقيام بأعمال ذات طابع بيئي كالكتابة والمسرح والفن التشكيلي

 

 

24 mai 2008

sale

Salé : potiers de père en fils

Ils sont une centaine à faire de l’argile leur propre muse. A Salé, les potiers sont des artisans de père en fils, des protecteurs d’un patrimoine qui risque de se perdre. De nos jours, de moins en moins de jeunes sont disposés de mettre «la main à la pâte». Oulja. C’est ici où se dresse le Complexe artisanal de Salé. Ce lundi, le début d’après-midi annonce des températures en hausse. Pourtant, le parking est au complet comme presque tous les jours. Nombreux sont les Slaouis et les Rbatis qui bravent la chaleur pour découvrir ce que cachent ces petites échoppes nichées à l’intérieur du complexe. Vases, chandeliers, cendriers, tasses, assiettes, tagines et autres pièces sont exposés sur des étagères au milieu et tout autour des murs de cette boutique N° 9 : «Poterie Al Attar». Difficile de résister, les curieux, qui comptaient juste jeter un coup d’œil, restent des heures à contempler les œuvres artisanales aux formats et aux couleurs aussi divers que nombreux. A droite de cette boutique, se trouve une porte qui donne sur l’atelier de confection. Silence absolu, la créativité a besoin de concentration, mais aussi de beaucoup de doigté. Ali Al Attar, propriétaire du local, est assis sur un petit tabouret en bois, près de la porte. Les rayons du soleil lui servent de projecteur naturel pour vérifier la teneur des couleurs et l’esthétique. Devant lui, une palette et de petites tasses fraîchement décorées. Ali trempe son pinceau dans un récipient et poursuit la décoration d’une assiette. «C’est un service à café que je termine en ce moment», explique-t-il tout doucement. Quelques minutes plus tard, il s’arrête pour admirer le résultat : «C’est bon ! Vous savez, les dessins que nous réalisons sont très différents des autres potiers comme ceux de Safi. A Salé, ce sont des lignes fines en forme de la Khoulala ou de feuilles d’arbres que nous avons l’habitude de reproduire. Notre poterie est reconnaissable par le fait qu’elle est moins chargée.» Ali Al Attar est potier depuis trente ans. Aujourd’hui, la cinquantaine bien portante, il ne lui arrive jamais de regretter d’avoir suivi les traces de son père. «J’avais une grande curiosité pour la poterie, parce que mon père était l’un des artisans slaouis les plus méticuleux. Il m’a tout appris au point que je suis devenu un véritable passionné de la poterie», raconte-t-il. Si Ali se montre aussi enthousiaste en parlant de son travail, il l’est moins lorsqu’il prend le temps de réfléchir à l’avenir. Il confie qu’il est peu probable que ses enfants empruntent son chemin. « Non, non! Mes enfants n’y pensent même pas. La poterie pour eux, c’est un labeur et rien de plus. Ils ont d’autres préoccupations comme l’informatique, par exemple», reconnaît-il. Dans cet atelier, tous les artisans ont la quarantaine ou la cinquantaine. Peu de jeunes sont là sauf pour assister momentanément un Maâllem qui confectionne une pièce sur son tour. Abdellah Tamakracht a l’air suspendu sur cet appareil en bois que les artisans appellent «Al Maoûne ». C’est le tour que ne cesse de faire pivoter Abdellah à l’aide de ses pieds. Une fois la pâte d’argile sur le tour du Maâllem, ce dernier entame un mouvement circulaire. Au moyen d’une éponge imbibée d’eau, d’une mesure en bois et surtout d’un grand doigté, l’argile se soumet aux désirs de son maître pour prendre la forme qu’il veut. «Je peux confectionner tout type de pièces, il n’y a pas de spécialité. Tout dépend plutôt de la commande qu’on reçoit. Et bien sûr, les grandes pièces demandent beaucoup plus de temps et d’énergie», explique Abdellah qui exerce de ce métier depuis vingt ans. Au fur et à mesure que le plat en argile prend forme, le jeune assistant veille à ce que le Maâllem n’ait besoin de rien et travaille la pâte d’argile qui servira à confectionner d’autres pièces. C’est un peu plus loin, en plein air, que l’argile est entreposée. Elle est d’abord soumise à un processus de filtration avant de devenir une pâte. Tout commence par de grosses pierres d’argile dites de type bleu, noir et jaune qui sont mises dans un bassin rempli d’eau. Elles y fondent, puis vient le travail du filtrage et du tamisage dont s’occupent en majorité les jeunes assistants. L’argile qui en résulte est alors séchée sous le soleil. «Toutes ces étapes, on les suspend lorsqu’il pleut. Nous avons alors recours aux stocks d’argile pendant l’hiver. Cela me rappelle la fable de la Cigale et de la fourmi», ajoute le propriétaire. Pour les potiers, le travail dure donc toute l’année, six jours sur sept, sauf le mois du congé annuel. Abdellah a terminé le plat en argile qu’il vient de décoller du tour en utilisant un fil. Chaque jour, de 20 à 30 pièces sont fabriquées ainsi. Elles passent, ensuite, chez un autre artisan qui devra, lui, réaliser leur partie inférieure avant de les envoyer vers l’artisan qui les mettra au four. «Il faudra attendre neuf heures avant de sortir ces pièces», explique Ahmed Masoûdi, chargé de veiller sur le bon déroulement de la cuisson. La poterie est tout un travail de chaîne dont les maillons doivent tous partager cet amour pour le métier. Abdellah, originaire de la région de Marrakech est tout aussi passionné que Ali, le Slaoui, mais il avoue tout de même ne pas vouloir que ses enfants deviennent eux aussi potiers. « Les potiers ne vivent pas tous dans de bonnes conditions. Si dans cet atelier, nous avons la sécurité sociale, dans d’autres, il n’y a rien et les artisans n’ont pas le droit de tomber malade», s’indigne-t-il. Payés entre 60 et 100 DH par jour, les potiers ne sont pas tous satisfaits de leurs conditions. Légime : ne pas travailler ne serait-ce qu’une journée, équivaut à ne rien avoir pour manger. Terrible fatalité qui conduit plusieurs comme Abdellah à ne pas souhaiter à leurs enfants de connaître cette vie de misère où de nombreux artisans vivent en silence. Les propriétaires s’en défendent arguant une demande vascillante et de grosses dépenses que nécessite l’entreprise. Al Attar et d’autres comme lui au complexe de l’Oulja prouvent que ce ne sont là que de fausses allégations. Al Attar est même l’un des rares propriétaires à avoir mis en place un four à gaz afin d’éviter la pollution qu’entraînent les fours traditionnels d’où sortent des fumées asphyxiantes. «Le four m’a coûté 8 millions de centimes que j’ai empruntés à mes amis et mes proches. L’Etat ne nous aide pas même par des crédits, par exemple», tient-il à souligner. Pour aller de l’avant, des sacrifices sont consentis de part et d’autre. Et même si les potiers manquent parfois de pot, leur passion pour l’argile ne s’amenuise jamais, car elle est éternelle. Le 13-10-2006 Par : Leïla Hallaoui aujourd'uit maroc

24 mai 2008

medina de sale

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La ville de Salé existe depuis mille ans. Située sur le flanc droit de l’oued Bou Regreg, sa médina de 90 hectares est encerclée de très beaux remparts ocres courant sur un peu moins de cinq kilomètres.

Ville réputée pour la grande piété de ses habitants, elle s’est développée au départ des principaux édifices religieux, mosquées et medersa.

Outre les remparts, elle compte un chef-d’œuvre de l’art almohade : la grande mosquée bâtie par Yacoub el-Mansour en 1196 – la troisième en importance au Maroc après celles de Fès (Qaraouiyne) et de Casablanca (Grande Mosquée Hassan II).

Ce sont surtout les Mérinides qui ont développé la ville au siècle suivant. On leur doit une superbe medersa édifiée dans les années 1330-40 sous le règne du Sultan Abou el-Hassan Ali, mais aussi l’aqueduc Sour el Aqouas qui approvisionnait la ville en eau potable et la construction de nombreuses demeures de toute beauté.

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